Certain nombre d'étudiants marocains ont estimé que les nouveaux frais d'inscription dans les universités françaises, à compter de la prochaine année universitaire (2020), limiteront les ambitions des jeunes à obtenir un diplôme français leur permettant d'entrer facilement sur le marché du travail. Pour certain, la décision du gouvernement français d'augmenter ces frais constitue une menace sérieuse pour les aspirations des jeunes Marocains, en particulier des étudiants de la classe moyenne. Ces frais sont réservés aux étudiants les plus riches. Ce qui priverait un nombre d'étudiants brillants issus des familles pauvres de poursuivre leurs études à l'étranger.
Les frais d'inscription dans les universités françaises vont monter de façon draconienne. La nouvelle stratégie visant à gagner la bataille de la polarisation internationale des étudiants étrangers. L’étude pour le niveau licence demandait une somme de 170 euros par an pour les étudiants étrangers, mais la nouvelle décision prévoit 2770 euros. Pour le Master, les frais d’inscription seront passés annuellement de 243 € à 3770 €. Le doctorat sera de 3770 € au lieu de 380 €. Un certain nombre d’étudiants pensent que ces frais inciteront une proportion importante d’étudiants à penser à d’autres destinations d’études, telles que la Russie, la Belgique, l’Allemagne ou le Canada, suite aux frais de scolarité relativement bas comparés aux nouveaux frais de scolarité en France. Ces frais de scolarité élevés ont semé la confusion parmi les étudiants marocains, d’autant plus qu’une partie d’entre eux se préparent chaque année à faire les études en France. Cette démarche sera aujourd’hui une raison pour abandonner l’idée d’étudier en France.
La justification française de la hausse des frais d'inscription n'est pas convaincante, elle est liée au fait d'attirer davantage les étudiants internationaux, mais il est clair que ces frais visent à sélectionner un échantillon d'étudiants. La France souhaite accueillir des étudiants étrangers après les États-Unis, le Royaume-Uni et l'Australie, à travers cette nouvelle stratégie, pour attirer 500 000 étudiants étrangers d'ici 2027, au lieu de 324 000 actuellement.
Les étudiants marocains, première communauté d'étudiants étrangers en France, sont victimes de cette montée des frais.
Les frais d'inscription dans les universités françaises vont monter de façon draconienne. La nouvelle stratégie visant à gagner la bataille de la polarisation internationale des étudiants étrangers. L’étude pour le niveau licence demandait une somme de 170 euros par an pour les étudiants étrangers, mais la nouvelle décision prévoit 2770 euros. Pour le Master, les frais d’inscription seront passés annuellement de 243 € à 3770 €. Le doctorat sera de 3770 € au lieu de 380 €. Un certain nombre d’étudiants pensent que ces frais inciteront une proportion importante d’étudiants à penser à d’autres destinations d’études, telles que la Russie, la Belgique, l’Allemagne ou le Canada, suite aux frais de scolarité relativement bas comparés aux nouveaux frais de scolarité en France. Ces frais de scolarité élevés ont semé la confusion parmi les étudiants marocains, d’autant plus qu’une partie d’entre eux se préparent chaque année à faire les études en France. Cette démarche sera aujourd’hui une raison pour abandonner l’idée d’étudier en France.
La justification française de la hausse des frais d'inscription n'est pas convaincante, elle est liée au fait d'attirer davantage les étudiants internationaux, mais il est clair que ces frais visent à sélectionner un échantillon d'étudiants. La France souhaite accueillir des étudiants étrangers après les États-Unis, le Royaume-Uni et l'Australie, à travers cette nouvelle stratégie, pour attirer 500 000 étudiants étrangers d'ici 2027, au lieu de 324 000 actuellement.
Les étudiants marocains, première communauté d'étudiants étrangers en France, sont victimes de cette montée des frais.
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