L'immigration clandestine a largement préoccupé l’attention dans le monde entier. Des raisons politiques, économiques ou sociales poussent les personnes de tenter à bouger loin de la source du problème. Ce qu’on a assisté lors de la guerre en Syrie. Des milliers de syriens ont été dispersés dans le monde. Un flux de personnes traverse la mer méditerranée vers l’Europe. Face à cette crise humanitaire, il est nécessaire de tendre la main d’aide aux personnes déchirées, manipulées et épuisées par la guerre. Mais la réalité, montre un autre visage de pays d’accueil, celui de refus. Sous pression d’ordre politique quelques pays Européens délivrent difficilement le statut réfugier. Ils le délivrent avec prudence, pour des raisons de sécurité, les capacités d’accueil, problèmes budgétaires et social. Le fait que cette vague d’immigration coïncide avec la mouvance des terroristes. C’est ainsi que, plusieurs actes d’agression comme l’attaque par couteau, le harcèlement sexuel, ont été attribués aux immigrants. Le souci d’intégration et la présence de l’islam sont considérés comme une menace sur la société. L’opinion publique met en jeu le refus et nourrissent les slogans racistes. Cette question migratoire divise l’Europe entre ceux qui veulent résoudre le problème et ceux qui utilise l’immigration pour une faim politique. Fuir sous la percussion, envers près d'un million de réfugiés rohingyas, chassés de leurs foyers dans le pays Bangladesh. Ce dernier fait preuve d’hospitalité humaine envers les persécutés. Mais le pays Bangladesh ne peut pas gérer cette crise humanitaire longtemps que nécessaire. La crise politique qui a ravagé le pays Venezuela nuis la vie quotidienne du peuple et pousse des milliers de vénézuéliens de quitter leur territoire vers les pays voisins que de leur tour refusent les immigrants.
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